Le pilier de tout business repose sur ça (pourtant, beaucoup le négligent).
Tous les sites internet du monde vendent quelque chose.
Que ce soit des produits, des services ou de l’information.
Par conséquent, ils ont besoin d’un copywriter.
Pourtant je ne croule pas sous les demandes.
Pourquoi ?
Parce que le niveau de conscience des personnes derrière ces sites est différent.
Beaucoup d’entre elles ne voient pas l’intérêt de faire appel à un copywriter.
D’autres ne savent même pas ce qu’est un copywriter.
C’est pourquoi, tel un sniper, je cible précisément.
Autrement, je m’épuiserais inutilement à viser tout le monde, mais à ne toucher personne.
Ça vous parait logique comme raisonnement ?
Pourtant, beaucoup d’entrepreneurs ciblent large.
D’une part, parce qu’ils ne connaissent tout simplement pas l’importance de cibler précisément.
D’autre part, par peur de perdre des opportunités.
Je les comprends très bien.
J’ai longtemps ignoré ce concept.
Mais même après l’avoir découvert, j’ai procrastiné sur l’étude de mon marché.
Car c’est fastidieux d’écouter les gens.
Et puis il y a la peur d’aller vers les autres.
D’être rejeté…
Puis j’ai compris que si je ne passais pas plus de temps avec ma cible, je resterais dans un cercle vicieux.
> Je n’aurais aucune chance de savoir ce qu’elle voulait précisément.
> Par conséquent, je ne pourrais pas le lui vendre.
> Au final, j’aurais du mal à vivre de mon business.
Alors, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai parlé à une première personne.
Puis une autre.
Et ainsi de suite jusqu’à la connaitre précisément.
Grâce à ce travail, j’ai pu adapter mon ciblage et trouver d’excellents clients.
Si aujourd’hui votre cible est vague dans votre esprit, alors n’ayez pas peur d’aller parler aux gens.
Vous pouvez le faire vous aussi.
Vous seriez surpris de découvrir à quel point les gens adorent parler de leurs problèmes.
Si vous faites ce travail d’enquête, alors vous rentrez dans un cercle vertueux.
> Vous savez précisément ce que veulent les gens.
> Par conséquent pouvez le leur vendre.
> Au final, vous vivez très bien de votre business.
C’est à vous de jouer.
Francisco