#10 – [Hors-série] Il démonte mes blocages en direct… les tiens risquent d’y passer — Simon Giraud
Introduction :
Aujourd’hui, j’ai décidé de prendre un risque. Au lieu d’interviewer Simon Giraud comme prévu, je lui ai demandé… de me coacher en direct.
Et si tu es infopreneur, je te préviens : cet épisode va probablement te secouer.
Si toi aussi, tu sais exactement ce que tu dois faire… mais tu ne le fais pas. Si tu retardes des projets par perfectionnisme. Si tu as peur du regard des autres. Si tu veux contribuer, mais que tu te sabotes inconsciemment… alors écoute ça.
Ce coaching m’a aidé à reconnecter avec ma raison d’être, à comprendre le vrai coût de l’inaction, et à me remettre en mouvement. Il pourrait faire pareil pour toi.
Chapitrage de l’épisode :
00:00 – Le pari du coaching en direct
01:25 – Le projet que je repousse depuis des mois
03:47 – Pourquoi Simon me traite d’égoïste
05:16 – La peur du regard des autres
07:09 – Et si ça marchait ? Se préparer à réussir
10:06 – WIIFM : les gens veulent savoir ce qu’ils gagnent
13:50 – Le vrai prix de l’inaction
17:16 – Je ne suis plus la même personne qu’il y a 5 ans
18:42 – Ce qui déclenche vraiment le passage à l’action
22:39 – L’émotion, moteur de transformation
26:32 – Tu vaux plus que ce que tu fais
32:54 – Les 3 poisons d’une vie de merde
41:12 – La recette de Simon : raison d’être + alignement
44:58 – Faut-il un contrat de résultat pour avancer ?
59:12 – Le copywriting comme cuisine : assaisonner, goûter, ajuster
Le jour où j’ai arrêté de me mentir : coaching à cœur ouvert avec Simon Giraud
[Cet article a été généré par une IA d’après la transcription de l’épisode]
Je pensais faire une interview classique. Poser mes questions. Guider la conversation.
Mais à la dernière minute, j’ai tout changé.
J’ai demandé à Simon de me coacher… en direct. Sans filet. Sans préparation.
Pourquoi ? Parce que je savais que je tournais en rond. Et que j’avais besoin d’aide.
Ce qui a suivi m’a bouleversé. Et pourrait bien vous parler aussi.
“Tu es un égoïste.”
C’est l’une des premières phrases que Simon m’a lancées. Direct. Brut.
Pourquoi ? Parce que je passais mon temps à peaufiner un projet… sans jamais le livrer.
Je voulais envoyer des invitations physiques à mes invités de podcast.
Des vraies. Par la poste. Avec une citation imprimée, une belle boîte, du branding… le truc dont je rêvais.
Mais je ne l’ai jamais fait.
Je voulais que tout soit parfait. Et ce perfectionnisme me paralysait.
Simon m’a remis devant l’évidence :
“Tu dis que tu veux aider. Mais en fait, tu ne penses qu’à toi. Tu veux être sûr que ce soit assez beau, assez pro, assez réussi… Et pendant ce temps-là, tu prives les gens que tu veux inspirer.”
Et il avait raison.
Le coût caché de l’inaction
Ce coaching m’a mis une claque. Parce qu’on parle souvent du risque d’échouer…
Mais on ne parle jamais assez du coût de ne rien faire.
“À chaque fois que tu n’envoies pas ton invitation, tu refuses à ton rêve d’exister.”
Simon m’a appris à voir l’inaction comme une forme de sabotage. Une stratégie inconsciente pour garder le contrôle.
Pas de lancement = pas de rejet possible. Pas de feedback. Pas de critique.
Mais aussi… pas de progression.
Tu veux être compris, pas convaincu
Autre leçon puissante : le besoin d’importance.
On a tous envie de se sentir vu, reconnu, compris.
Et ça ne fait pas de nous des égocentriques. Juste des humains.
“Quand quelqu’un te consacre du temps, c’est la preuve que tu es important. Et c’est ok de vouloir se sentir important.”
Ce coaching m’a aussi reconnecté à ce que je veux vraiment faire : créer avec joie, inviter avec originalité, contribuer avec sincérité.
Pas pour “réussir”. Mais pour me sentir aligné.
L’émotion, pas la logique
Ce que j’ai tenté pendant des mois de comprendre avec ma tête, Simon me l’a ramené au cœur.
“Tu veux être rationnel. Mais ce n’est pas la logique qui te fera bouger. C’est l’émotion.”
Et il a raison. Quand j’ai repensé à ma fille, à ce que je voudrais lui transmettre, à l’impact que je veux créer… le déclic était là.
Pas besoin de nouvelles stratégies. Juste de me reconnecter à ma raison d’être.
Et maintenant ?
À la fin de l’épisode, Simon m’a lancé un défi.
Envoyer trois invitations physiques avant mercredi soir.
J’ai dit oui. En direct. Avec vous.
Ce n’est qu’un petit pas. Mais c’est un pas fait avec le cœur.
Et si vous aussi, vous avez un truc que vous savez que vous devez faire… mais que vous repoussez, alors faites-le.
Même imparfait. Même brouillon. Faites-le.
Parce que ce que vous perdez à ne rien faire est toujours plus grand que ce que vous risquez en avançant.
Francisco Teixeira