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#9 – Emails : Comment scaler sans perdre sa voix ni ses clients ?

Introduction :

Tu veux scaler ton business, déléguer ton copywriting… mais tu refuses de sacrifier ce qui fait ta force : la relation unique que tu as avec ton audience.

Dans cet épisode, je te montre comment déléguer sans que tes emails deviennent froids, agressifs ou génériques. Tu vas comprendre pourquoi 99 % des copywriters détruisent la confiance que tu as mis des mois à construire, sans même s’en rendre compte.

Je t’explique aussi la méthode que j’utilise avec mes clients, qui te permet de :

  • Garder ton ton, ta voix et tes valeurs,
  • Multiplier ton chiffre d’affaires sans écrire une ligne,
  • Et surtout : transformer chaque email en une opportunité de fidélisation, pas juste de vente.

Avec des exemples concrets, des résultats chiffrés (comme un ROI de 4 900 %), et la stratégie exacte qui génère entre 500K et 1 million d’euros par an pour mon client Jody Cavalie… sans aucune promo bidon, sans fausses urgences, sans bullshit.

Si tu veux déléguer sans te renier, cet épisode est un game changer. Bonne écoute.

Chapitrage de l’épisode :

00:00 – Le dilemme du scaling : déléguer sans dégrader la relation client
01:30 – La peur de perdre la qualité
03:00 – Pourquoi le copywriting classique pose problème
04:30 – Le danger des mensonges appris en formation
06:50 – L’exemple de la lettre truquée de Gary Halbert
10:00 – La culture du “one shot” vs relation long terme
13:00 – Témoignage de Thomas : “Je ne te reconnais plus”
15:00 – Les fausses solutions qui ne fonctionnent pas
18:30 – Pourquoi il faut arrêter de chercher un copywriter
20:00 – La vraie solution : l’ingénieur relationnel
25:00 – Les conséquences légales du copywriting manipulateur
29:00 – Les bénéfices d’une relation client durable
33:00 – Comment je travaille : audit, ton, valeurs, vision
42:00 – L’exemple chiffré avec Jody Cavalie (ROI x49 à x100)
51:00 – Preuves concrètes : + de mails = + de ventes = + de confiance

Emails : Comment scaler sans ruiner la relation client

[Cet article a été généré par une IA d’après la transcription de l’épisode]

Quand tu développes ton activité, tu es vite confronté à un dilemme : comment déléguer sans détruire ce lien si précieux que tu as créé avec ton audience ?
C’est particulièrement vrai avec les emails — ce canal intime, direct, où chaque mot peut renforcer ou affaiblir la confiance.

Aujourd’hui, je te partage une conviction : oui, tu peux scaler sans perdre ta voix, ni tes clients. Mais pour ça, il faut repenser ta façon de déléguer ton copywriting.

Scalabilité et relation client : une fausse opposition ?

D’un côté, tu veux croître, déléguer, sortir la tête du guidon.
De l’autre, tu sais que ce sont tes mots, ton ton, ta façon de parler qui font vendre. Parce que les gens achètent des gens. Pas des promesses désincarnées.

Or, beaucoup pensent qu’il faut choisir entre efficacité et authenticité. C’est faux.
Mais la manière dont la plupart des copywriters sont formés aujourd’hui rend cette dualité bien réelle.

Pourquoi déléguer ses emails est risqué

La majorité des copywriters francophones ont été formés à l’ancienne école.
Leurs mentors s’appellent Gary Halbert, Eugene Schwartz ou Gary Bencivenga. Des légendes, certes, mais dans les années 60, où le modèle était simple : une lettre, une vente, puis silence radio.

Leur approche ?
Des promesses démesurées, des urgences artificielles, des témoignages approximatifs… et au fond, une stratégie de vente one shot, totalement incompatible avec un business fondé sur la relation.

Résultat ?
Tu risques de confier ta voix à quelqu’un qui ne comprend pas ce que tu représentes.
Et ton audience te dira : “Je ne te reconnais plus.”

Les conséquences invisibles mais fatales

Quand ton audience ne te reconnaît plus dans tes mails :

  • Elle n’ouvre plus.

  • Elle ne clique plus.

  • Elle n’achète plus.

  • Ou pire, elle se désabonne avec amertume.

Et comme toujours, celui qui se plaint représente 10, 50 ou 100 autres silencieux qui pensent la même chose.
Tu perds petit à petit ce qui te rendait unique.

Et le plus pervers dans tout ça ? Tu ne le vois pas venir tout de suite. Tu continues à penser que le problème, c’est “le marché”, “l’algorithme”, “le timing”… alors qu’en réalité, c’est ton lien avec ton audience qui est en train de se briser.

La solution : passer du copywriter à l’ingénieur relationnel

Il ne s’agit pas d’abandonner l’idée de déléguer. Il s’agit de changer de paradigme.

Arrête de chercher un copywriter qui “écrit bien”.
Cherche un ingénieur relationnel.

Quelqu’un qui commence par t’écouter.
Qui analyse ta vision, ton ton, tes valeurs, tes combats, ton style d’expression.
Qui ne se contente pas d’une commande de “3 emails de vente pour un webinaire” mais qui fait un audit, crée une cohérence, segmente, respecte ton ADN.

Un ingénieur relationnel ne cherche pas à faire une vente.
Il cherche à créer une relation de confiance qui permet de vendre 10 fois, 20 fois, sans jamais trahir celui ou celle que tu es.

Preuves à l’appui : le cas Jody Cavalie

Prenons un exemple concret : mon client Jody Cavalie.

Depuis qu’on a mis en place une newsletter relationnelle, envoyée 3 fois par semaine, sans aucune vente directe entre deux lancements, il génère entre 500 000 et 1 million d’euros par an — rien qu’avec cette relation continue par email.

ROI calculé ? Entre 4 900 % et 10 000 %.

Pourquoi ça marche ? Parce qu’on entretient la relation. On parle vrai.
On rassure. On inspire. On répond aux peurs. On prépare doucement à l’action.
Et quand Jody ouvre les ventes… les gens sont prêts.

Conclusion : scaler, oui — mais pas à n’importe quel prix

Tu veux croître, déléguer, souffler. C’est légitime.
Mais ne confie pas tes emails à n’importe qui.
Parce qu’aujourd’hui, les coûts d’acquisition explosent, la méfiance augmente, et ton avantage concurrentiel le plus solide, c’est la confiance que tes clients ont en toi.

Alors pose-toi une vraie question :

Est-ce que la personne à qui je délègue mes emails me connaît aussi bien que mon audience ?
Est-ce qu’elle défend mes valeurs ? Est-ce qu’elle parle pour moi ou à ma place ?

Si tu veux déléguer sans disparaître, alors il te faut quelqu’un qui soit obsédé par la relation, pas juste par la conversion.

Et c’est exactement ce que je fais avec le Système Relationnel.

Francisco Teixeira

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