fbpx

 Prospect 3 – 0 Francisco.

J’étais très excité.

Je m’en frottais les mains d’avance.

Mais malgré ma préparation j’ai perdu.

C’était la première fois que j’avais un prospect au téléphone, et c’était moche.

 

Je me suis fait dominer.

Il menait le jeu.

Il me posait ses questions.

Il me posait ses conditions.

Et moi j’étais comme OUI-OUI, j’acceptais tout.

1-0 pour lui.

 

Grave erreur.

Alors, que je m’étais préparé comme l’équipe de France pour la finale de la Coupe du Monde, je me suis fait balader dès la 3ème minute.

Pourtant, j’avais préparé un plan précis.

Un mélange entre le 4-4-2 et le 4-3-3.

Sur le papier, j’allais ramener la coupe à la maison.

 

Mais rien ne s’est passé comme prévu.

Je devais lui poser des questions pour cerner son problème et pour voir si je pouvais l’aider.

Mais quand je le lui ai dit… il m’a répondu :

“NON, C’EST MOI QUI VAIS TE POSER DES QUESTIONS.”

C’est à ce moment précis que j’ai perdu le contrôle.

2-0 pour lui.

 

Je l’ai perdu parce qu’à partir de là, c’est lui qui avait le dessus sur moi.

Et du coup, automatiquement (et bêtement) je suis rentré dans son jeu et je me suis fait dominer.

3-0 pour lui.

 

C’était le stress du direct.

Écrire des textes et vendre par téléphone c’est très différent.

Quand je travaille, je suis tranquillement assis derrière mon ordi à rédiger des argumentaires qui vont plafonner votre compte en banque (bon j’exagère un peu).

 

Mais quand je suis au téléphone… ça n’a rien à voir.

Je suis face à quelqu’un avec son égo… son envie de contrôle… Et forcément ça clash car nous voulons tous les deux avoir la possession.

 

Je ne vous raconte pas tout ça pour vider mon sac, mais pour vous expliquer le principe du cadre.

Ce principe vous aidera à faire de bonnes affaires (entre autres).

Pour faire de bonnes affaires, vous devez être dans un cadre qui vous avantage.

Comme l’est un footballeur dans une conversation sur le foot.

 

Et pour conquérir le cadre, vous devez prendre le leadership de la situation.

Autrement dit, c’est vous qui posez les questions et les conditions.

C’est vous qui donnez le rythme.

Vous attaquez à toute vitesse, vous faites de l’antijeu.

C’est vous le maître du jeu.

 

Et pour conquérir le leadership, vous devez être dans le bon état d’esprit.

Dans mon cas ce serait de me dire :

“C’est lui qui a besoin de moi. Je suis une opportunité pour lui”.

 

J’ai pris le risque et j’ai échoué…

Mais c’est pour ça que je progresse.

C’est pour ça que mon copywriting s’améliore à grande vitesse.

Cette expérience m’a appris le concept du cadre.

Elle m’a aussi appris que je ne dois pas accepter de travailler avec n’importe qui.

 

Et c’est pour ça que je ne vais pas courir après mon prospect tel qu’il me l’a demandé.

3 partout.

Je préfère réserver mon temps pour travailler avec quelqu’un comme vous.

Quelqu’un qui ne me demande pas si le copywriting fonctionne..

..mais quelqu’un qui sait qu’une page écrite par un pro vend mieux qu’une écrite par photographe. 

Chacun son métier après-tout… 

Quelqu’un qui ne me demande pas de travailler pour un prix excessivement avantageux pour lui et ridiculement bas pour moi…

…mais pour quelqu’un qui sait que quel qu’en soit le prix, c’est lui qui y gagne le plus, pas moi.

 

Si vous êtes cette personne-là, nous sommes faits pour travailler ensemble.

Je vous écris une nouvelle page de vente ou séquence email et écoutez bien…

…si les taux de conversions augmentent de +50% vous me payez — autrement, c’est 100% gratuit.

C’est moi qui prends tous les risques.

Pendant que vous continuez à plancher sur votre projet… 

…de mon côté j’étudie au peigne fin votre produit et votre cible.

Ensuite je vous envoie une page de vente qui vous ressemble et qui vend.

Vous implantez la page et hop !

Si les conversions augmentent de +50% vous me payez avec l’argent que je vous ai fait gagner.

Autrement dit, mon travail est en quelque sorte toujours gratuit pour vous.

Je vous fais cette proposition parce que j’ai confiance en mon offre.

Profitez-en et envoyez-moi un message pour qu’on fixe un appel.

À tout de suite,

Francisco

 

PS : Je vous l’avais promis dans mon premier email, que j’allais partager avec vous mon aventure en toute transparence.

J’espère que vous n’avez pas été déçu.

Shares
Share This